“Nous voulons ouvrir le débat sur la suppression des DRM, qui est le seul moyen d’obtenir une véritable interopérabilité.”
Julien Ulrich, le directeur général de Virginmega
“Le CD tel qu’on le connaît aujourd’hui est mort”
“Il faut développer un model de propriété intellectuelle qui place la connaissance comme une ressource publique en premier et comme un bien privé en second.”
Rapport de l’IPPR: Intellectual property in a digital age
Voilà enfin les prises de positions que j’attendais depuis des années. Dommage que tout ce beau monde ne se réveille qu’un an après la bataille DADVSI. Mais est-ce vraiment un hasard? Ca me rappel ce cher Pascal Rogard (président de la SACD et grand lobbyiste pro-DADVSI) qui écrivait en Septembre sur son blog:
Il suffit de lire l’histoire des codes secrets de Simon Singh, pour comprendre la vanité de l’illusion que les technologies pourront assurer une protection sans faille des droits de propriété littéraire et artistique.
Ratiatum explique la supercherie. Maintenant que les DRMs sont protégé par la loi il veut conserver les recettes de la copie privé. Pourtant je me souviens très bien d’une conférence/débat à propos de DADVSI où Christophe Espen d’eucd.info avait expliqué et démontré sans ambigüité possible à Pascal Rogard et au président de la Sacem qu’entre les DRMs et la rénumération du droit à la copie privé il fallait choisir
Pendant ce temps on attend toujours les décrets d’application DADVSI, ils auraient dû être là début Octobre… Est-ce que les interopérabilisateurs qui sont en cours de procédure avec la justice y serait pour quelque chose??