Le mythe du DRM open source revient de plus en plus souvent. Il faut dire qu’il est alimenté ni plus ni moins que par la société SUN avec son projet Open Media Common dont est issue DReaM qui nous est vendu comme un “DRM open source”. En réalité DReaM n’est pas un système de DRM c’est un “container” à DRM qui permet la conversion depuis un format DRM vers un autre format DRM. DReaM permet l’intéropérabilité entre différent DRM en gérant des droits sur des contenus au lieu de gérer directement des contenus. Pour accéder au contenu il faut passer par un intermédiaire, un service, qui en fonction du terminal que vous utilisez vous fournira le contenu dans un format DRM compatible avec votre équipement.
Le concept est très bien expliqué dans cette vidéo expliquant les principes d’un concurrent de DReaM (mais ils font la même chose): Navio System. Ce dont le type de la vidéo oublie de parler c’est l’usine à gaz qu’il faut construire pour rendre “simple” tout ce bordel.
Pour être complet sur les initiatives dont l’objectif est l’intéropérabilité des DRMs il ne faut pas oublier Coral, le consortium qui regroupe tout le monde sauf Apple et Microsoft…
Et pour finir, n’oubliez pas que tous ces systèmes, bien qu’ils prétendent régler les problèmes que posent les DRM, contiennent tous de la “MERDE inside©“