Je me demande pourquoi c’est un chant guerrier qui me vient à l’esprit en lisant cette nouvelle: les majors du disque s’apprête à abandonner les DRMs
Voici ce qu’aurais écrit dans un mail, Paul Birch, membre du “board” des directeurs de l’IFPI (International Federation of Phonographic Institutes)
DRM as we know it is over. There may be Son of DRM but that’s another matter. Right now its dead, the majors are moving towards the new model. The one thing you can be sure of is they will still be at the centre of the world music industry whatever happens.
Les DRMs tels que nous les connaissons c’est fini. Il y aura peut-être un “fils des DRM” mais c’est un autre problème.Tout de suite c’est mort, les majors se dirigent vers un nouveau modèle. Ce dont vous pouvez être sur c’est qu’ils seront toujours au centre de l’industrie mondiale de la musique, quoi qu’il arrive.
C’est sans doute vrai, l’ex manager des Pink Flyod, Peter jenner, pense la même chose.
Plus de DRM, très bien, maintenant on attend le “nouveau modèle”, celui qui respecte les artistes, le public et permet à l’industrie de vivre se passe de ces intermédiaires qui ont mis bien trop de temps à ouvrir les yeux. Que les DRMs ce soit fini, c’est possible, que la confiance dans les majors du disque soit à zéro, c’est certain.
"As our sector’s share has fallen by almost half in just over twelve months"
Le share de qui dans quoi ?
"the new model for us is partnership"
C à dire ? des MP3 facilement accessibles ?
Astex
J’avais commencé à traduire la suite de la citation, mais je l’ai trouvé tellement peu clair que j’ai laissé tombé.
Le share, j’imagine que c’est la part de marché des labels indépendants sur le marché du disque.
Pour le reste si quelqu’un y comprend quelque chose…
The independents are another matter. As our sector’s share has fallen by almost half in just over twelve months, the new model for us is partnership. It always was, I’m just not sure we got it.